Notre approche et outils en coaching et en formation

Ann Kristin Benthien coaching professionnel à Paris

Comment fonctionne notre accompagnement ?

1.

Objectifs

Au début de notre collaboration, il est primordial de fixer vos objectifs de façon concrète. Dire simplement "je veux être un meilleur manager" est trop vague. La question est : comment cela se manifeste? Pour que notre accompagnement soit un succès, il est nécessaire de fixer des critères de réussite. Tout cela se fait lors de notre première séance.

2.

Séance

Au début de notre séance , vous décidez sur quel sujet (quel objectif) vous avez envie de travailler. Puis vous définissez un résultat concret que vous souhaitez accomplir à la fin de notre séance . C’est la base pour sortir d'une séance avec un résultat tangible. Cela peut être, par exemple, prendre une décision et définir le plan d'action à mettre en place pour se mettre en mouvement entre les séances ou des exercices pour le client.

3.

Entre les séances

Le véritable travail pour vous se passe entre les séances. C’est un facteur clé de la réussite de notre accompagnement. En effet, vous réalisez le plan d’action que vous avez défini auparavant ou bien les exercices sur lesquels nous nous sommes mis d'accord. Car à quoi sert de créer des plans d’action si on ne les réalise pas et que l’on ne se met pas en mouvement ?

4.

Séance

Lors de la séance suivante, nous faisons un point sur la réalisation de votre plan d’action ou des exercices que nous vous avons proposés. Si le plan d’action a bien été réalisé, vous allez ancrer les actions réalisées pour pouvoir les répéter en autonomie par la suite. Si seulement une partie du plan d’action a été réalisée, nous regardons ensemble comment modifier cette partie du plan d’action.

Quelles sont nos méthodes ?

Le coaching systémique

L’approche systémique considère que le coach professionnel et le client font partie d’un même système complexe. Le coach professionnel participe au contexte de son client et les enjeux du coach et du client sont imbriqués. Ce cadre de référence nous permet d’utiliser les outils du coaching. 

Ce qui se passe entre nous peut aussi se construire avec tout ce qui se passe à l’extérieur, car nous faisons partie d’un système. 

Il y a partout des modèles, des schémas dans lesquels nous agissons, que nous créons et qui en retour nous font agir. 

Le coaching systémique vous permet de prendre conscience de vos modèles de comportement, et des schémas que vous êtes en action sans vous en rendre compte. Il vous aide ainsi à les modifier. 

Le coaching systémique fait les liens entre les schémas qui existent tout autour de soi et permet d’en prendre conscience.

Un exemple “systémique”

Pendant une séance de coaching professionnel, le coach et son client jouent au golf. À chaque fois que le client joue, il met beaucoup d’enthousiasme et d’énergie à frapper la balle, à la regarder s’envoler, mais ne regarde plus lorsque la balle atterrit. Cette façon de jouer préfigure sa façon de travailler : très enthousiaste au commencement d’un projet, il ne regarde ni la fin, ni les résultats de ses projets professionnels en entreprise. 

À partir de cette observation durant le coaching professionnel, le directeur a pris conscience de son comportement et a pu établir un plan d’action pour changer. 

L’analyse transactionnelle

Pendant notre coaching professionnel, nous utilisons aussi l’Analyse Transactionnelle (AT). 

Cette théorie psychologique s’intéresse à la personnalité, aux rapports sociaux et à la communication. Créée par Eric Berne en 1958, il s’agit d’une méthode de psychothérapie, également utilisée en coaching et comme outil pour l’organisation d’entreprise ; elle se base sur l’hypothèse que chaque personne a trois “États du Moi” différents : le Parent, l’Adulte et l’Enfant. Elle considère les échanges interpersonnels comme des transactions à étudier (qualifiées de jeux psychologiques lorsque la transaction est manipulatrice).

Encore une fois, il existe de nombreux livres qui expliquent de façon exhaustive ce qu’est l’Analyse Transactionnelle.

Voici quelques modèles que nous utilisons en tant que coachs professionnels lors de nos séances de coaching. 

Le triangle dramatique de Karpman

Lors de  nos séances de coaching professionnel, il peut être intéressant d’analyser ce qui se passe entre les différentes parties prenantes lors d’une transaction (jeu psychologique ou interaction) à l’aide du triangle dramatique de Karpman.

Ce modèle vous permet d’identifier le rôle (Victime, Persécuteur et Sauveteur) que vous privilégiez (les schémas de comportements associés ou rôles) le plus souvent et d’éviter les jeux psychologiques.

En effet, nous adoptons tous ces trois rôles (ils ne sont pas fixes) et peuvent même changer pendant le jeu.

Les différents États du Moi (fonctionnels)

Quel que soit notre âge, la structure de la personnalité se compose de trois États du Moi :

    • Parent : Fonction de cadrage (Persécuteur) et d’encouragement (Sauveteur) 
    • Adulte : Position factuelle et informative (en dehors du triangle)
    • Enfant : Enfant adapté (Victime) et Enfant libre

Cela vous aide à comprendre pourquoi une situation est telle qu’elle est.

La manifestation des États du Moi fonctionnels est observable, c’est-à-dire qu’à chacun de ces États du Moi correspond un comportement (ton, volume de la voix, mimiques, gestuelles, postures…) et un vocabulaire spécifique.

Lorsque vous observez la situation avec ce prisme, vous permettons, grâce  rôle de coach professionnel  à notre  de comprendre avec quel État du Moi vous agissez et dans quel État du Moi l’autre vous répond. Vous comprenez alors les “transactions” entre vous et l’autre. Cette prise de conscience peut vous aider à modifier votre comportement et votre situation.

Si en tant que manager vous restez bloqué (ou êtes majoritairement) dans un seul État du Moi, cela pose problème..

Voici quelques exemples, non exhaustifs 😉

    1. Quand le manager adopte majoritairement l’État de “Parent Nourricier”, il encourage, il aide, il réconforte, mais peut ne pas être assez cadrant, et son équipe manquer de règles de travail. 
    2. Quand le manager adopte majoritairement l’État de Moi “Parent Normatif”, il cadre, fixe les règles et pose des limites. Il manque à son équipe la permission d’agir différemment. De ce fait, son équipe ne prend pas d’initiatives. Il peut être dévalorisant s’il pointe uniquement sur ce qui ne va pas, en fonction du cadre qu’il a posé.
    3. Quand le manager adopte majoritairement l’État de Moi “l’Enfant libre” est spontané, détend l’atmosphère, et permet l’initiative. Ce manager ne donne alors pas de cadre et ni d’encouragements. C’est alors ce qui peut manquer alors à ses équipes. 
    4. Prenons l’exemple d’une manager, Catherine : son État de Moi privilégié est le “Parent Nourricier”. Cela lui permet d’accueillir et d’aider certains membres de son équipe qui ne sont pas encore autonomes pour les faire grandir. Si elle reste majoritairement dans cet État du Moi, elle risque d’empêcher l’autonomie de son équipe plutôt que de la faciliter. Mais cela peut aller au-delà : si le manager Catherine continue d’être majoritairement dans le Parent Nourricier, elle peut donner l’impression à un salarié qu’elle le pense incapable de gérer la tâche ou la situation. Cela peut induire un manque de confiance dans ses capacités et le manager peut être parfois vécu comme un parent condescendant donc comme un persécuteur.

 

Les différentes positions de vie 

L’Analyse Transactionnelle distingue 4 positions de vie : (“moi je suis” sur la ligne verticale, “les autres” sur la ligne horizontale)

    • + + Je m’accepte et j’accepte l’autre. 
    • + – Je me sens supérieur, et je sens l’autre comme inférieur
    • – + Je me sens inférieur, et je sens l’autre comme supérieur 
    • – – Je me sens sans valeur, et je sens l’autre sans valeur 

Nous changeons aussi de position de vie en fonction de notre situation et de nos interlocuteurs. Cela a un impact sur notre manière d’écouter et de satisfaire nos besoins, sur notre manière d’entrer en relation, sur comment nous acceptons et donnons de la reconnaissance à autrui, etc. 

Grâce au coaching professionnel, nous pouvons décider sur quelle position de vie nous allons travailler et quel type de relations vous choisissez de nouer. 

Communication assertive

Je travaille aussi avec la communication non-violente, qui est une méthode de communication assertive, c’est-à-dire ni agressive ni passive. 

Communication assertive

Nous travaillons aussi avec la communication non-violente, qui est une méthode de communication assertive, c’est-à-dire ni agressive ni passive. 

Elle aide à être constructif dans la relation à deux, et rend la communication plus bienveillante pour soi comme pour l’autre. C’est une méthode fluide et efficace, à condition de réussir à l’appliquer. En effet, la théorie de cette approche est très simple, mais elle a besoin de pratique pour être utilisée facilement.

Si vous souhaitez davantage d’informations, nous vous recommandons le livre “Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs)” de Marshall Rosenberg.

La CNV propose d’appliquer 4 étapes lorsque vous communiquez avec autrui : 

Imaginons qu’il y ait un conflit interpersonnel au travail et que vous souhaitiez le résoudre.

1 – Rappel des faits 

Sans interprétation, juste ce qui s’est passé pour rester dans le contexte.

2 – Partage des émotions 

Parfois, vous n’êtes pas à l’aise avec le partage de vos émotions, mais l’identification de votre émotion par vous-même peut vous aider pour l’étape d’après.

3 – Partage du besoin

De quoi avez-vous besoin pour ne pas être en colère, triste ou avoir peur ? 

4 – Négociation

Venir avec une proposition pour faire différemment, et chercher avec l’autre une solution concrète qui puisse satisfaire les deux parties : qu’est-ce que vous et l’autre personne pouvez faire différemment maintenant ou dans le futur pour que ce conflit ne revienne pas ?

Mais quel est l’objectif d’une communication assertive ? 

Il s’agit de ne pas chercher de coupable, mais d’améliorer la situation et la relation entre les deux personnes concernées. 

Quand nous expliquons cela pendant notre coaching professionnel, cela paraît très facile. Néanmoins, l’expérience nous montre que nous avons tous besoin de pratiquer pour appliquer la CNV de façon fluide sans préparation en amont.

En effet, il arrive que vous n’osiez pas tout de suite parler à votre N+1 d’un désaccord. Nous travaillons ensemble pour clarifier par le coaching professionnel comment dire les choses de façon à être entendu et que la personne en face ne se braque pas tout de suite en se sentant attaquée. Ce travail avec la CNV vous permet ensuite d’exprimer votre désaccord à votre N+1 et de résoudre ce conflit.

L’intelligence émotionnelle

Nous aimons travailler avec l’intelligence émotionnelle en coaching professionnel.

Il existe 4 émotions de base :

  • La peur
  • La colère
  • La tristesse
  • La joie

Chaque émotion vous donne des indications utiles pour mieux gérer une situation critique et vous aide dans le processus de décision.

La peur 

La peur nous montre que nous percevons un danger quelque part. 

Par exemple, lorsque j’ai peur, je suis crispé, tendu, je peux avoir une boule au ventre ou au cœur, et tous ces signes de mon corps me disent que j’ai peur. Des études scientifiques, comme l’Iowa gambling task, montrent que notre corps reconnaît la dangerosité d’une situation beaucoup plus rapidement que notre conscience (Iowa gambling task).

Il sera alors intéressant de se demander “où est le danger ? Est-ce que c’est un danger probable ou que le crée-je tout seul dans ma tête ?” 

Nous remarquons pendant nos séances de coaching professionnel que nos coachés sont souvent plus rassurés une fois qu’ils ont identifié le danger.

S’il s’agit d’un danger probable, je peux me demander “comment puis-je avancer avec vigilance pour aller vers mon objectif ?”

La colère 

Souvent, nous sommes en colère quand quelqu’un nous empêche d’aller vers notre objectif ou si nous ne nous sentons pas respectés en tant que personne.

Et c’est notre estime de soi, donc notre amour propre qui se manifeste.

Parfois lors de notre coaching professionnel, quand nous travaillons sur l’estime de soi, nous essayons d’aller chercher cette émotion pour permettre aux personnes avec une plus petite estime d’elles-mêmes de toucher leur colère, et donc leur amour propre.

Si le sujet de fond n’est pas l’estime de soi, nous pouvons utiliser cet indicateur pour mieux analyser de quoi vous avez besoin. Lorsqu’on est en colère, on a beaucoup d’énergie. En coaching professionnel, nous pouvons aussi identifier comment utiliser cette énergie pour avancer vers notre objectif.

La tristesse 

Elle signifie que nous avons besoin de faire le deuil d’une personne ou d’une idée, ce qui va main dans la main avec “accepter une situation”.

Pendant le coaching professionnel, nous vous encourageons même à pleurer si cela vous vient, et surtout à accueillir cette émotion.

Ensuite, nous pouvons commencer l’analyse pour identifier la raison de la tristesse et nous demander ce dont vous avez besoin pour pouvoir tourner la page.

Nous pouvons également identifier ce dont vous avez besoin à ce moment précis pour vous sentir mieux.

La joie 

La joie est l’état idéal 😉

Les trois émotions, la peur, la colère et la tristesse, sont des indicateurs du corps qui nous préviennent que nous ne sommes pas dans notre état émotionnel primordial de joie. Chaque émotion est à traverser, à vivre. Elle nous pousse à l’action pour pouvoir revenir à la joie. 

Bien évidemment, pour pouvoir utiliser ces indicateurs, il est indispensable de savoir écouter notre corps.

Lors de notre coaching professionnel, nous cherchons comment vous aider à vous reconnecter à votre corps pour pouvoir identifier vos émotions.

Chaque émotion a ses propres manifestations dans notre corps. Cette prise de conscience (est-ce que j’ai une boule dans le cœur, est-ce que je transpire, est-ce que j’ai les dents qui se serrent, etc) se fait de plus en plus vite au fur et à mesure que l’on apprend à les détecter, à les reconnaître. 

Le coaching systémique

L’approche systémique considère que le coach et le client font partie d’un même système complexe. Le coach participe au contexte de son client et les enjeux du coach et du client sont imbriqués. 

Ce qui se passe entre nous peut aussi se construire avec tout ce qui se passe à l’extérieur, car nous faisons partie d’un système. 

Il y a partout des modèles, des schémas dans lesquels nous agissons, que nous créons et qui en retour nous font agir. 

Le coaching systémique vous permet de prendre conscience de vos modèles de comportement, et des schémas que vous êtes en action sans vous en rendre compte. Il vous aide ainsi à les modifier. 

Un exemple "systémique"

Pendant une séance, le coach et son client jouent au golf. À chaque fois que le client joue, il met beaucoup d'enthousiasme et d’énergie à frapper la balle, à la regarder s’envoler, mais ne regarde plus lorsque la balle atterrit. Cette façon de jouer préfigure sa façon de travailler : très enthousiaste au commencement d’un projet, il ne regarde ni la fin, ni les résultats de ses projets professionnels en entreprise. 

À partir de cette observation, le directeur a pris conscience de son comportement et a pu établir un plan d’action pour changer. 

L'analyse transactionnelle

Pendant notre coaching professionnel, nous utilisons aussi l’Analyse Transactionnelle (AT). 

Cette théorie psychologique s’intéresse à la personnalité, aux rapports sociaux et à la communication. Créée par Eric Berne en 1958, il s’agit d’une méthode de psychothérapie, également utilisée en coaching et comme outil pour l’organisation d’entreprise ; elle se base sur l’hypothèse que chaque personne a trois "États du Moi” différents : le Parent, l’Adulte et l’Enfant. Elle considère les échanges interpersonnels comme des transactions à étudier (qualifiées de jeux psychologiques lorsque la transaction est manipulatrice).

Encore une fois, il existe de nombreux livres qui expliquent de façon exhaustive ce qu'est l’Analyse Transactionnelle.

Voici quelques modèles que nous utilisons en tant que coachs professionnels lors de nos séances de coaching. 

Le triangle dramatique de Karpman

Lors de  nos séances, il peut être intéressant d’analyser ce qui se passe entre les différentes parties prenantes lors d’une transaction (jeu psychologique ou interaction) à l’aide du triangle dramatique de Karpman.

Ce modèle vous permet d’identifier le rôle (Victime, Persécuteur et Sauveteur) que vous privilégiez (les schémas de comportements associés ou rôles) le plus souvent et d’éviter les jeux psychologiques.

En effet, nous adoptons tous ces trois rôles (ils ne sont pas fixes) et peuvent même changer pendant le jeu.

Les différents États du Moi (fonctionnels)

Quel que soit notre âge, la structure de la personnalité se compose de trois États du Moi :

    • Parent : Fonction de cadrage (Persécuteur) et d’encouragement (Sauveteur) 
    • Adulte : Position factuelle et informative (en dehors du triangle)
    • Enfant : Enfant adapté (Victime) et Enfant libre

Cela vous aide à comprendre pourquoi une situation est telle qu’elle est.

La manifestation des États du Moi fonctionnels est observable, c'est-à-dire qu'à chacun de ces États du Moi correspond un comportement (ton, volume de la voix, mimiques, gestuelles, postures…) et un vocabulaire spécifique.

Lorsque vous observez la situation avec ce prisme, vous permettons, grâce à notre  de rôle de coach professionnel  comprendre avec quel État du Moi vous agissez et dans quel État du Moi l’autre vous répond. Vous comprenez alors les “transactions” entre vous et l’autre. Cette prise de conscience peut vous aider à modifier votre comportement et votre situation.

Si en tant que manager vous restez bloqué (ou êtes majoritairement) dans un seul État du Moi, cela pose problème.

Voici quelques exemples, non exhaustifs 😉

    1. Quand le manager adopte majoritairement l'État de “Parent Nourricier”, il encourage, il aide, il réconforte, mais peut ne pas être assez cadrant, et son équipe manquer de règles de travail. 
    2. Quand le manager adopte majoritairement l’État de Moi “Parent Normatif”, il cadre, fixe les règles et pose des limites. Il manque à son équipe la permission d’agir différemment. De ce fait, son équipe ne prend pas d’initiatives. Il peut être dévalorisant s’il pointe uniquement sur ce qui ne va pas, en fonction du cadre qu’il a posé.
    3. Quand le manager adopte majoritairement l’État de Moi “l’Enfant libre” est spontané, détend l'atmosphère, et permet l’initiative. Ce manager ne donne alors pas de cadre et ni d’encouragements. C’est alors ce qui peut manquer alors à ses équipes. 
    4. Prenons l’exemple d’une manager, Catherine : son État de Moi privilégié est le “Parent Nourricier". Cela lui permet d’accueillir et d’aider certains membres de son équipe qui ne sont pas encore autonomes pour les faire grandir. Si elle reste majoritairement dans cet État du Moi, elle risque d’empêcher l’autonomie de son équipe plutôt que de la faciliter. Mais cela peut aller au-delà : si le manager Catherine continue d'être majoritairement dans le Parent Nourricier, elle peut donner l’impression à un salarié qu’elle le pense incapable de gérer la tâche ou la situation. Cela peut induire un manque de confiance dans ses capacités et le manager peut être parfois vécu comme un parent condescendant donc comme un persécuteur.

 

Les différentes positions de vie 

L’Analyse Transactionnelle distingue 4 positions de vie : ("moi je suis" sur la ligne verticale, "les autres" sur la ligne horizontale)

    • + + Je m’accepte et j’accepte l’autre. 
    • + - Je me sens supérieur, et je sens l’autre comme inférieur
    • - + Je me sens inférieur, et je sens l’autre comme supérieur 
    • - - Je me sens sans valeur, et je sens l’autre sans valeur 

Nous changeons aussi de position de vie en fonction de notre situation et de nos interlocuteurs. Cela a un impact sur notre manière d’écouter et de satisfaire nos besoins, sur notre manière d’entrer en relation, sur comment nous acceptons et donnons de la reconnaissance à autrui, etc. 

Grâce au coaching professionnel, nous pouvons décider sur quelle position de vie nous allons travailler et quel type de relations vous choisissez de nouer. 

Communication assertive

Nous travaillons aussi avec la communication non-violente, qui est une méthode de communication assertive, c’est-à-dire ni agressive ni passive. 

Elle aide à être constructif dans la relation à deux, et rend la communication plus bienveillante pour soi comme pour l’autre. C’est une méthode fluide et efficace, à condition de réussir à l’appliquer. En effet, la théorie de cette approche est très simple, mais elle a besoin de pratique pour être utilisée facilement.

Si vous souhaitez davantage d'informations, nous vous recommandons le livre “Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs)” de Marshall Rosenberg.

La CNV propose d’appliquer 4 étapes lorsque vous communiquez avec autrui : 

Imaginons qu’il y ait un conflit interpersonnel au travail et que vous souhaitiez le résoudre.

1 - Rappel des faits 

Sans interprétation, juste ce qui s’est passé pour rester dans le contexte.

2 - Partage des émotions 

Parfois, vous n’êtes pas à l’aise avec le partage de vos émotions, mais l’identification de votre émotion par vous-même peut vous aider pour l’étape d’après.

3 - Partage du besoin

De quoi avez-vous besoin pour ne pas être en colère, triste ou avoir peur ? 

4 - Négociation

Venir avec une proposition pour faire différemment, et chercher avec l’autre une solution concrète qui puisse satisfaire les deux parties : qu’est-ce que vous et l’autre personne pouvez faire différemment maintenant ou dans le futur pour que ce conflit ne revienne pas ?

Mais quel est l’objectif d'une communication assertive ? 

Il s’agit de ne pas chercher de coupable, mais d’améliorer la situation et la relation entre les deux personnes concernées. 

Quand nous expliquons cela pendant notre accompagnement, cela paraît très facile. Néanmoins, l'expérience nous montre que nous avons tous besoin de pratiquer pour appliquer la CNV de façon fluide sans préparation en amont.

En effet, il arrive que vous n’osiez pas tout de suite parler à votre N+1 d’un désaccord. Nous travaillons ensemble pour clarifier par le coaching professionnel comment dire les choses de façon à être entendu et que la personne en face ne se braque pas tout de suite en se sentant attaquée. Ce travail avec la CNV vous permet ensuite d’exprimer votre désaccord à votre N+1 et de résoudre ce conflit.

L'intelligence émotionnelle

Nous aimons travailler avec l’intelligence émotionnelle en coaching professionnel.

Il existe 4 émotions de base :

  • La peur
  • La colère
  • La tristesse
  • La joie

Chaque émotion vous donne des indications utiles pour mieux gérer une situation critique et vous aide dans le processus de décision.

La peur 

La peur nous montre que nous percevons un danger quelque part. 

Par exemple, lorsque j’ai peur, je suis crispé, tendu, je peux avoir une boule au ventre ou au cœur, et tous ces signes de mon corps me disent que j’ai peur. Des études scientifiques, comme l’Iowa gambling task, montrent que notre corps reconnaît la dangerosité d’une situation beaucoup plus rapidement que notre conscience (Iowa gambling task).

Il sera alors intéressant de se demander “où est le danger ? Est-ce que c’est un danger probable ou que le crée-je tout seul dans ma tête ?” 

Nous remarquons pendant nos séances que nos coachés sont souvent plus rassurés une fois qu’ils ont identifié le danger.

S’il s’agit d’un danger probable, je peux me demander “comment puis-je avancer avec vigilance pour aller vers mon objectif ?”

La colère 

Souvent, nous sommes en colère quand quelqu'un nous empêche d’aller vers notre objectif ou si nous ne nous sentons pas respectés en tant que personne.

Et c’est notre estime de soi, donc notre amour propre qui se manifeste.

Quand nous travaillons sur l’estime de soi, nous essayons d’aller chercher cette émotion pour permettre aux personnes avec une plus petite estime d’elles-mêmes de toucher leur colère, et donc leur amour propre.

Si le sujet de fond n’est pas l’estime de soi, nous pouvons utiliser cet indicateur pour mieux analyser de quoi vous avez besoin. Lorsqu’on est en colère, on a beaucoup d’énergie. Nous pouvons aussi identifier comment utiliser cette énergie pour avancer vers notre objectif.

La tristesse 

Elle signifie que nous avons besoin de faire le deuil d’une personne ou d’une idée, ce qui va main dans la main avec “accepter une situation”.

Pendant les séances, nous vous encourageons même à pleurer si cela vous vient, et surtout à accueillir cette émotion.

Ensuite, nous pouvons commencer l'analyse pour identifier la raison de la tristesse et nous demander ce dont vous avez besoin pour pouvoir tourner la page.

Nous pouvons également identifier ce dont vous avez besoin à ce moment précis pour vous sentir mieux.

La joie 

La joie est l’état idéal 😉

Les trois émotions, la peur, la colère et la tristesse, sont des indicateurs du corps qui nous préviennent que nous ne sommes pas dans notre état émotionnel primordial de joie. Chaque émotion est à traverser, à vivre. Elle nous pousse à l’action pour pouvoir revenir à la joie. 

Bien évidemment, pour pouvoir utiliser ces indicateurs, il est indispensable de savoir écouter notre corps.

Lors de notre accompagnement, nous cherchons comment vous aider à vous reconnecter à votre corps pour pouvoir identifier vos émotions.

Chaque émotion a ses propres manifestations dans notre corps. Cette prise de conscience (est-ce que j’ai une boule dans le cœur, est-ce que je transpire, est-ce que j’ai les dents qui se serrent, etc) se fait de plus en plus vite au fur et à mesure que l’on apprend à les détecter, à les reconnaître. 

Ils nous font confiance

Fixons vos objectifs
& créons ensemble vos plans d'action

1.

Objectifs

Clarification du résultat que vous souhaitez accomplir à la fin de la séance

2.

Plan d'action

Concrétiser vos solutions possibles grâce à un plan d'action opérationnel

3.

1ers résultats

Application des plans d'action sur le terrain entre les séances

4.

Adaptations

Suivi lors de la prochaine séance : ancrage ou modification du plan d'action

Fixons vos objectifs
& créons ensemble vos plans d'action

1.

Objectifs

Clarification du résultat que vous souhaitez accomplir à la fin de la séance.

2.

Plan d'action

Concrétiser vos solutions possibles grâce à un plan d'action opérationnel

3.

1ers résultats

Application des plans d'action sur le terrain entre les séances

4.

Adaptations

Suivi lors de la prochaine séance : ancrage ou modification du plan d'action

Nos chiffres clés

0 ans

D’expérience
en coaching

0 +

Clients
accompagnés

0 %

Satisfaction
des clients

Les composantes de la réussite de notre collaboration

Votre Engagement 

Une relation de confiance

Des séances régulières

Formalisation des objectifs

Réalisation des plan d’action

Contractualisation 

Fondatrice AKB Coaching & Consulting

Ann-Kristin Benthien

Coach professionnel à Paris

Souvent nos clients souhaitent avoir des résultats immédiats.

Pourtant, arriver à votre objectif est un processus qui se déploie petit à petit pour obtenir des résultats visibles.

Au-delà du temps, il existe d’autres composantes qui influencent la réussite d’un coaching professionnel à Paris.

Les avantages de notre méthode de coaching

Possibilité
par téléphone

Format court
et efficace

Prise en compte de votre environnement

Progrès constant
vers votre objectif

Émergence
de vos solutions

Création de vos
plans d’action

Témoignages de nos clients​

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pour avancer ensemble

fondatrice ann kristin benthien